Fic

Voili maintenant un bout de temps que je fais une fic (histoire inventée), ici sur le thème de Stargate Atlantis, formée en différents petits "épisodes", le tout formant plusieurs saisons, etc... Jusqu'ici je le passais à qui voulait le voir, mais vu qu'il y a un peu de monde sur ce forum, j'ai pensé que ce serait sympa de mettre ça ici. Qui est partant ?

bah pourquoi pas?

Ca sert a rien que je le poste s'il y a personne pour le lire ^^!

mais si lol, mais javou que cest rare que je passe dans le bar

oui

moi je suis partant andros montre les nous

Ok bon ben c'est parti... Les épisodes 1 et 2 j'ai juste transcrit le début d'Atlantis en modifiant rapidement deux trois trucs pour que ca colle mieux, mais l'histoire est la même de toute façon, je les poste quand même à la suite...

Bon, pour l'instant je vous mettrai que les 5 premiers et vous me direz ce que vous en pensez, si vi êtes toujours partants je mettrai les 3 suivants, les autres certains sont finis, d'autres non, donc je vais pas tout mettre dans le désordre...

SAISON 1 : Double Fight

Episode 1 : Rising (1/2)
Episode 2 : Rising (2/2)
Episode 3 : Surprised Guests
Episode 4 : Stargate : SA-1
Episode 5 : First Round
Episode 6 : Atlantis’s Destiny
Episode 7 : Alpha Site
Episode 8 : Back To Home (1/2)
Episode 9 : Back To Home (2/2)
Episode 10 : Hallowed Are The Wraiths
Episode 11 :
Episode 12 : The Beast
Episode 13 :
Episode 14 : The Ancient’s Legacy
Episode 15 : The Trap (1/2)
Episode 16 : The Trap (2/2)
Episode 17 : Liberty’s Quest
Episode 18 : No Tempus
Episode 19 : Critical Situation
Episode 20 : Premature Offensive
Episode 21 : Ultimate Confrontation (1/3)
Episode 22 : Ultimate Confrontation (2/3)

Les cinq premiers à la suite dès que je les aurais remis en état...

PS: Les titres en Anglais cherchez pas à savoir pourquoi ^^! Juste si jamais un titre vous pose problème dites le, je vous mettrai la "traduction".

Episode 1: Rising (1/2)

Nous étions en l’an 2005, sur la planète Terre. En Antarctique se trouvait une base secrète sur laquelle étaient effectuées des recherches sur un avant-poste des Anciens. Justement, le Dr Weir, qui supervisait ce programme, arriva…

Beckett : …vous voyez, même si je reste assis là toute la journée il se passera rien…
McKay : Carson, revenez vous asseoir !
Beckett : Non, ça ne marche pas… Désolé Dr Weir…
McKay : Il ne fait aucun effort…
Weir : C’est lui qui a découvert le gène grâce auquel cette technologie fonctionne.
McKay : Il dit qu’il préférerait ne pas être porteur du gène…
Weir : Ah oui ?
McKay : Moi aussi je trouve ça très étonnant.
Weir : Nous n’avons pas trouvé beaucoup de personnes qui soient génétiquement compatibles avec la technologie des Anciens. Et même si on fait des efforts héroïques pour la mettre en interphase avec la nôtre, tout le monde doit venir s’asseoir sur ce fauteuil, y compris le docteur Beckett.
McKay : Qu’est-ce que je peux faire, il a peur de ce machin !
Weir : Ce fauteuil contrôle l’arme la plus puissante connue du genre humain… Moi aussi j’ai peur de ce machin. Mais chaque fois qu’une personne s’assoit dessus, on en apprend davantage sur les Anciens qui ont construit cette base. Si j’étais le docteur Beckett, je serais fier d’avoir une supériorité génétique.
McKay : C’est seulement une caractéristique aléatoire, pas une supériorité.
Weir : Ca ne vous plaît pas cette histoire de gène on dirait ?
McKay : Ca se voit, je suis dévoré par la jalousie…

Daniel Jackson, un brillant archéologue, arriva…

Daniel : Ah, je voulais vous voir tout les deux… Vous voulez bien, venir avec moi ? Nous avons cru plusieurs fois avoir localisé la cité perdue mais apparemment on cherchait dans la mauvaise direction. Nous pensions avoir une adresse de Porte des Etoiles, 6 coordonnées spatiales permettant de localiser la planète où les Anciens seraient allé après avoir quitté l’Antarctique. Il n’y a pas longtemps nous avons trouvé le septième symbole.
Weir : Leur planète d’origine, la Terre.
Daniel : C’est là que nous nous sommes trompés.
McKay : Votre adresse était sûrement incorrecte…
Daniel : Pas incorrecte, incomplète…
Weir : Qu’est-ce que cela signifie docteur Jackson ?
Daniel : C’est une adresse à huit symboles, ce qu’on cherche est beaucoup plus éloigné qu’on ne l’avait imaginé mais pas inaccessible.
McKay : Atlantis…
Daniel : Atlantis ! On peut y aller maintenant !

Pendant ce temps, l’hélicoptère du Général O’Neill piloté par la Major Sheppard approchait lentement de la base…

O’Neill : Ca demande beaucoup d’entraînement l’Antarctique.
Sheppard : C’est le seul continent sur lequel je n’ai jamais atterri.
O’Neill : Franchement c’est loin d’être mon préféré…
Sheppard : Ca me plaît assez ce coin-là...
O’Neill : Ca vous plaît assez ?
Sheppard : Oui mon général… On arrivera à destination dans une dizaine de minutes…

Plus tard, dans la base, McKay ramena Beckett près du siège de l’avant-poste…

Beckett : Vous avez déjà essayé avec moi, ça ne marche pas… Et puis je suis docteur, docteur en médecine!
McKay : Allez, il y a rien à craindre…
Beckett : Vous ne comprenez pas, je vais sûrement le casser votre engin.
McKay : Cet appareil est encore intact au bout de plusieurs millions d’années, ce n’est pas vous qui allez le casser. Il faut s’asseoir, fermer les yeux et se concentrer.
Beckett : … Et voilà, toujours rien…
McKay : Attendez, cette fois, visualisez notre position dans le système solaire…
Beckett : J’ai une drôle de sensation… C’est lié au menu de la cantine…
McKay : Plus un mot, et restez concentré !

Soudain, le fauteuil s’activa et le drone qu’on étudiait plus loin partit, détruisant tout sur son passage…

Beckett : Qu’est-ce que j’ai fait ?
McKay : Mais essayez de l’arrêter au lieu de parler.

Le drone sortit de la base pour se diriger dans le ciel.

Voix : Avis à tous les appareils en vol, un drone incontrôlable cherche peut-être une cible, atterrissez immédiatement, je répète…
Sheppard : Trop tard…
O’Neill : Pivotez à droite !

L’hélicoptère pivota à gauche…

O’Neill : J’ai dit à droite !
Sheppard : Une urgence mon général…

Pendant plusieurs minutes, le drone chercha à détruire l’appareil, mais Sheppard arrivait à esquiver ses attaques…

O’Neill : Bon, si on se posait ?
Sheppard : Excellente idée…
O’Neill : Coupez les moteurs !
Sheppard : Qu’est-ce que c’était ?
O’Neill : Chut, elle va revenir…
Sheppard : Oh, oh... On degage!

Puis le drone s’immobilisa, dans les pieds du général O’Neill.
Quelques minutes plus tard, Sheppard et le général rentrèrent dans la base.

Daniel : Ah, Jack !
O’Neill : Daniel ! Sympa cet accueil…
Daniel : Je n’y suis pour rien… Comment avez-vous réussi à…
O’Neill : A éviter de nous faire pulvériser en plein ciel ? Grâce à l’exceptionnel talent de pilote du Major John Sheppard, il adore cette région.
Daniel : Exceptionnel ? Ca vous plaît ici ?
O’Neill : Bon, si on passait aux choses sérieuses ?
Daniel : Allons voir le docteur Weir…
O’Neill : Sheppard, ne touchez à rien.
Sheppard : A vos ordres…

Dans la salle de réunion du Dr Weir…

Daniel : Je crois que les Anciens sont partis avec leur cité toute entière il y a de cela 5 ou 6 millions d’années…

O’Neill : Donc, elle volait leur cité ?
Daniel : Exact… Quoi ?
O’Neill : Une cité qui vole ?
Daniel : Il s’agit du peuple qui a construit les Portes des Etoiles, faudrait pas l’oublier, ils étaient de nature ambitieuse…
O’Neill : Qu’est-ce qui les a poussé à s’en aller ?
Daniel : Difficile à dire, on sait que les Anciens ont souffert de la peste quand ils vivaient sur Terre, peut-être que certains ont eu envie de s’implanter dans une nouvelle galaxie et de tout recommencer à zéro… Enfin l’important c’est qu’on sait où ils sont allés…
O’Neill : Pégase !
Daniel : Oui, il s’agit sans doute de Pégase ou une galaxie naine proche d’ici.
McKay : Y a-t-il un espoir de les rencontrer un jour, après tout ce temps ?
Daniel : Aucune certitude, mais ça mérite qu’on fasse un détour, non ?
Weir : Cela fait plusieurs mois que je recrute une équipe dans ce but alors ce n’est pas moi qu’il faut convaincre !
O’Neill : Rassurez-vous je suis convaincu… Amusez-vous bien.
Daniel : Cela risque d’être un peu plus compliqué que ça.
McKay : On a besoin de l’EPPZ pour activer la Porte.
O’Neill : Du quoi ?
Daniel : L’EPPZ, il est canadien…
O’Neill : Oh je suis désolé…
McKay : L’EPPZ, général O’Neill, le générateur que vous avez rapporté de Praclarush Taonas et qu’on utilise ici pour alimenter le système de défense. Grâce à mes recherches, on sait maintenant qu’il tire sa puissance gigantesque de la masse d’énergie solide puisée dans une enclave de temporalité sub-spatiale.
O’Neill : Vous venez de gaspiller une lumineuse explication, la réponse est non.

Pendant ce temps, Sheppard, qui regardait un peu partout dans la base, se retrouva près du siège de l’avant-poste à côté duquel il entendit Beckett parler.

Beckett : Alors j’ai fait un effort de concentration, et le drone s’est immobilisé.
Sheppard : Alors c’était vous !
Beckett : Moi quoi ?
Sheppard : Ne faites pas l’innocent, c’est vous qui m’avez accueilli avec ce machin ?
Beckett : Ici, on fait de la recherche, on travaille sur une technologie qui nous dépasse de plusieurs années-lumière alors il arrive qu’on fasse des erreurs, je vous prie d’accepter mes plus sincères excuses.
Sheppard : Tâchez de faire plus attention la prochaine fois… Au fait, j’ai une petite question, c’était quoi ?
Beckett : Vous parlez du drone ? C’est l’arme conçue par les Anciens pour se défendre.
Sheppard : Les quoi ?
Beckett : Est-ce que vous avez une autorisation d’accès à cette base ?
Sheppard : Oh, oui, le général O’Neill vient de me l’accorder.
Beckett : Vous ne connaissez même pas la Porte des Etoiles alors ?
Sheppard : La quoi ?

Dans la salle de réunion, la discussion continuait…

Daniel : Jack, passer d’une galaxie à une autre exige une puissance absolument colossale.
O’Neill : Ca c’est sûr, trouvez un autre moyen…
Daniel : C’est le seul moyen.
O’Neill : … Mais est-ce qu’on a une chance de trouver d’autres EPPtruc à Atlantis ?
Daniel : C’est certain, et on fera d’autres trouvailles.
Weir : En terme de richesse et de technologie le potentiel est infini. Il dépasse ce que toutes nos équipes réunies ont découvert jusque-là.
O’Neill : Très bien, mais cette petite ballade risque de vous demander tellement de puissance que cela risque bien d’être un aller simple…
Weir : Nous le savons mais les bienfaits qu’en tirera l’humanité méritent que nous courions ce risque, et je vous garantie que tout les membres de mon équipe pourraient vous dire ça.

Pendant ce temps, à côté du siège de l’avant-poste.

Beckett : Nous pensons qu’ils utilisaient l’ADN comme une sorte de… de clé génétique si vous voulez, ainsi seuls les membres de leur espèce pouvaient utiliser les technologies trop dangereuses ou trop puissantes.
Sheppard : Donc certaines personnes ont les mêmes gènes que ces gens-là ?
Beckett : Le gène spécifique est extrêmement rare, mais les Anciens ne sont pas très différents de nous, ils sont arrivés les premiers en fait, nous sommes la deuxième évolution de cette forme de vie.
Sheppard : Quelles sont les probabilités pour que j’aie les mêmes gènes que ces gens-là?

Sheppard s’assit sur le fauteuil qui s’activa aussitôt.

Beckett : Les probabilités sont très minces je dirais… Ne bougez plus. Dr Weir ! Venez voir !

Weir et les autres arrivèrent en courant.

Weir : Qui est-ce ?
O’Neill : Je vous ai dit ne touchez à rien !
Sheppard : Je me suis juste assis mon général.
McKay : Maintenant, vous allez visualiser notre position dans le système solaire.

Une fraction de seconde après, une carte de la galaxie apparut. C’était sans doute la première fois que quelqu’un arrivait à la faire apparaître si on prend en compte l’état de joie qu’éprouvait McKay…
Plus tard, dans les couloirs de la base.

Weir : Général, on a besoin de cet homme.
O’Neill : Je regrette docteur, Daniel reste ici.
Weir : Oh, je parlais du major Sheppard.
O’Neill : Mais vous avez déjà une dizaine de personnes capables d’utiliser la technologie des Anciens non ?<
Weir : Oui avec beaucoup de concentration et d’entraînement, mais John Sheppard a un talent naturel.
O’Neill : Son dossier mérite un coup d’œil…
Weir : Je sais que ses supérieurs lui ont infligé un blâme, ce qu’il voulait c’était sauver la vie de trois soldats…
O’Neill : Oui en désobéissant à l’ordre d’un supérieur !
Weir : Général, j’ai lu le dossier vous concernant, impressionnant…
O’Neill : Oh, oui… Bon, très bien, c’est votre expédition, si vous le voulez, vous lui demandez.
Weir : Je vais vous dire c’est déjà fait.
O’Neill : Ah oui ?
Weir : Et il a accepté.
O’Neill : Ah oui…

Episode 2: Rising (2/2)

C’est ainsi que la grande équipe se retrouva au complet au SGC pour enfin partir sur Atlantis. Chacun se préparait à sa manière.

McKay : L’EPPZ devrait s’allumer si il détecte une liaison conductrice avec la Porte. Ah, voilà !

Ford : Est-ce que quelqu’un pourrait m’aider, ceux-là parlent espagnol ! S’il vous plaît ? Oh…

Beckett : Mais vous voyez bien que je fais des tests, allez, dégagez le passage.

Daniel : C’est l’adresse à huit symboles qui détermine un repère spatial, on ne saura rien avant que ça ne s’enclenche…

O’Neill : Bon, on va pouvoir y aller !

Weir : Allez, venez, rassemblez-vous. .. Bon, c’est le grand jour, nous allons tenter d’établir une connexion, nous ne serons pas en mesure de connaître la quantité d’énergie que cela prendra et nous n’aurons peut-être droit qu’à une seule tentative, mais si le vortex obtenu est stable, rien ne doit nous empêcher de rater cette occasion. Vous vous êtes tous porté volontaire. Chacun dans votre spécialité vous êtes les meilleurs du monde, et si l’on considère l’aventure dans laquelle vous vous lancez, vous êtes aussi les plus courageux, car je sais que vous êtes conscient, qu’il n’est pas certain que nous revenions parmi les hommes. Je laisse donc une dernière occasion à chacun de renoncer à cette aventure périlleuse.

Personne ne bougea…

Weir : Composez l’adresse…
Harriman : Chevron 1 enclenché… Chevron 2 enclenché…
Sumner : Je ne vais pas y aller par quatre chemins Sheppard, si vous êtes ici ce n’est pas de mon initiative…
Harriman : Chevron 3 enclenché…
Sumner : Donc faites bien attention et n’oubliez pas qui donne les ordres…
Sheppard : C’est le Dr Weir si je ne me trompe…
Harriman : Chevron 4 enclenché…

Weir : Rodney, votre frustration me met mal à l’aise, essayez de vous calmer…
Harriman : Chevron 5 enclenché…
McKay : Je n’ai jamais été aussi enthousiaste de ma vie…
Harriman : Chevron 6 enclenché…
O’Neill : Très beau discours Dr Weir !
Harriman : Chevron 7 enclenché…
Weir : Merci.
Harriman : Chevron 8… verrouillé !

Un tonnerre d’applaudissement retentit…

Weir : Envoyez le MALP.
Harriman : … Ca y est, le MALP envoie des données.
McKay : Le radar détecte un vaste espace clos…
Daniel : Et des structures intactes ?!
McKay : On ne peut plus reculer maintenant…
O’Neill : Vous pouvez y aller… Dr Weir.
Weir : Merci beaucoup… Général.

Sumner : Allez on ne perd pas de temps, nos réserves énergétiques sont faibles, unités de sécurité numéro 1 et 2, traversez en même temps que moi, tout les membres de l’équipe attendront qu’on leur donne le feu vert. Une fois de l’autre côté, dégagez la zone de débarquement, à mon commandement !
Weir : Attendez colonel ! On la traverse ensemble celle-là !
Sumner : C’est légitime.

Sumner traversa. Weir se retourna et vit le général O’Neill, Daniel, et tout ce qu’elle abandonnait sur Terre. Puis elle traversa la Porte.

Daniel : Jack il est encore temps que j’aille…
O'Neill : Non.
Daniel : Il suffirait que j’attrape mon…
O'Neill : Non !
Daniel : … paquetage.
O'Neill : A tout les membres de l’équipe, en avant.

<p>Sheppard : Quel effet ça fait ?
Ford : Une douleur terrible… Wouh Ouh !

Ford traversa la Porte à reculons, mort de rire. Sheppard, avec une certaine appréhension, en fit de même.
Ils se retrouvèrent dans un endroit très sombre, une vaste pièce qui s’allumait progressivement, à mesure que l’équipe avançait. On aurait dit qu’elle devinait leur présence et qu’elle revenait à la vie.

Weir et Sheppard rejoignirent Sumner qui avait commencé l’exploration.

Sumner : On n’a pu sécuriser qu’une petite partie du complexe, c’est gigantesque.
Weir : C’est peut-être vraiment la cité d’Atlantis !
Sumner : En tout cas ça ne m’étonnerait pas… Mais regardez plutôt par là…
Weir : C’est pas vrai… Une ville sous-marine !
Sheppard : On est sous l’eau ?
McKay : Oui, c’est de ça que je venais vous parler. Heureusement il y a une sorte de champ magnétique qui retient l’eau… Alors ça c’est impressionnant !
Sumner : Nous sommes à plusieurs centaines de mètres sous la surface de l’eau. A long terme, ça risque de nous poser des problèmes.
McKay : Euh… Beckett a trouvé quelque chose que vous devriez voir…

Tous se dirigèrent donc vers une petite salle où se trouvait Beckett. Ils l’aperçurent, accoudé à un panneau de contrôle, devant un hologramme.

Beckett : C’est un hologramme. L’enregistrement est monté en boucle, moi, je l’ai déjà vu.
Sumner : Qu’est-ce qu’on a manqué ?
Beckett : Ca vient de recommencer.
Hologramme : …mais un jour, notre peuple a posé le pied sur un monde des ténèbres où sommeillait un monstrueux ennemi. Jamais nous n’avions rencontré des créatures dont la force puisse défier la notre. Plein de confiance en nous, nous n’étions pas préparés, et pas assez nombreux. Effroyable fléau, l’ennemi a dévoré les mondes humains sans défense. Finalement il n’est plus resté qu’Atlantis ; l’exceptionnel bouclier de cette cité fut assez puissant pour résister à leurs armes terrifiantes. Mais nous avons été assiégé de nombreuses années. Pour sauver les derniers représentants de notre civilisation, nous avons submergé notre magnifique cité dans l’océan. Ainsi le dernier lien entre cette galaxie et la Terre était la Porte des Etoiles d’Atlantis, elle a servi de passage vers un monde ancestral à de nombreux survivants. C’est donc sur la planète Terre que les derniers représentants d’Atlantis ont terminé leur vie. La cité a été laissée en sommeil, dans l’espoir que les êtres humains, y reviendraient un jour.
McKay : Alors l’histoire d’Atlantis est vraie, une grande cité qui a coulé dans l’océan.
Sheppard : Mais ce n’était pas sur la planète Terre…

Peter Grodin, un scientifique spécialiste de la technologie des Anciens, arriva en courant, mais personne ne semblait avoir remarqué sa présence, il murmura quelques mots à l’oreille de McKay.

Weir : Revoyons ça depuis le début.
McKay : Stop, déconnectez-le ! Les réserves énergétiques de la cité sont en chute libre !
Sumner : Ca signifie quoi ?
McKay : Que si on ne cesse pas toute activité immédiatement, c’est la mort certaine !

Plus tard, dans la salle de contrôle…

McKay : D’après nos capteurs, la cité est alimentée par trois EPPZ, deux d’entre eux sont déjà vides et le troisième s’approche de l’entropie maximum, quand il y sera, il nous lâchera aussi !
Sumner : On doit s’attendre à quoi ?
McKay : Le bouclier qui fait barrage à l’océan est à son niveau minimum d’intensité. Plusieurs zones de la cité sont déjà submergées.
Sheppard : Et si le bouclier nous lâche ?
McKay : Ce n‘est pas une hypothèse, c’est ce qu’il va arriver !
Sumner : Peut-on ouvrir un vortex ?
McKay : Ouvrir un vortex vers la Terre demande beaucoup de puissance…
Sheppard : Peut-être pourrait-on l’ouvrir vers cette galaxie-là ?
McKay : Ce serait assez facile, oui…
Weir : Bon, colonel, préparez une équipe d’exploration, il faut trouver un refuge temporaire ou mieux un générateur surpuissant. Major, vous êtes partant ?
Sheppard : Oui madame…

L’équipe du colonel Sumner partit donc sur une planète inconnue. Après avoir fait la connaissance de quelques habitants dont Hailling, son fils Jinto et Teyla Emmagan qui leurs parlaient sans cesse d’un peuple connu sous le nom de « Wraiths », ils se dispersèrent et tentèrent de voir si cette planète pouvait leur servir de refuge. Mais soudain, le lieutenant Ford qui gardait la Porte, transmis un message radio au colonel…

Ford : Mon colonel, trois chasseurs viennent de traverser à la Porte, ils se dirigent dans votre direction…

Un peu plus loin, dans la forêt, Teyla et Sheppard discutaient de ces Wraiths, ils n’avaient pas entendu le message…

Teyla : Les Wraiths sont très anciens, ils viennent une fois tout les 100, 500 voire 1000 ans, mais chaque fois c’est pareil, ils capturent quasiment tout le monde et les emmènent dans leur vaisseau pour se nourrir.
Sheppard : Ils mangent les humains ?
Teyla : Oui, mais heureusement, certains d’entre nous les sentent arriver de très loin… Tenez, en parlant de très loin, ne nous éloignons pas trop, rentrons boire du thé… Chaque matin, nous avons pour habitude… de…
Sheppard : Qu’y a-t-il Teyla ?
Teyla : Je ne suis pas sûr mais… Oh non !
Sheppard : Mais enfin ne partez pas comme ça, attendez-moi…

<p>Sheppard suivit Teyla, ils arrivèrent ensemble au village, plusieurs personnes avaient été faites prisonnière par les Wraiths dont le colonel Sumner. Comme le village avait été rasé, Sheppard emmena tous les habitants sur Atlantis par la Porte. Mais arrivé là-bas, on aurait dit qu’il y avait un tremblement de terre.

Sheppard : Qu’est-ce qu’il se passe ?
Weir : Qui sont tout ces gens major Sheppard ?
Sheppard : Des habitants du village… Oh la la c’est du sérieux on dirait !
Weir : On s’apprêtait justement à abandonner la cité !
Sheppard : Si vous pensiez aller chez eux c’est une mauvaise idée…
Weir : Vous avez une autre suggestion peut-être ?
Sheppard : Jinto tu as une autre adresse de Porte des Etoiles ?
Jinto : Oui j’en ai plein.
Weir : Mais c’est un petit garçon enfin !
Jinto : Je m’appelle Jinto.
Sheppard : Elle est ravie de te rencontrer.
McKay : Le bouclier a lâché !

Une énorme secousse se fit ressentir.

Grodin : Je compose une autre adresse…
Weir : Non attendez…
McKay : Elle à raison, attendez…
Sheppard : Nous sommes en train de monter…
Teyla : La lumière du jour !

En effet, la magnifique cité d’Atlantis était en train de remonter à la surface, quelques minutes après, c’était fini, elle était totalement remontée et laissait apparaître des rayons lumineux éblouissants…

Weir : Alors Rodney, de bonnes nouvelles ?
McKay : Les générateurs sont à sec, mais les batteries se rechargent maintenant qu’on ne demande plus à nos alternateurs de repousser un océan, les systèmes d’oxygène sont en panne, mais l’air de la planète est respirable à l’exception des quelques allergènes habituels…
Weir : Les générateurs peuvent-ils fournir assez de puissance pour assurer l’alimentation des systèmes secondaires ?
McKay : Jusque dans nos rêves les plus fous…
Sheppard : Nous sommes à la surface de l’océan et sans bouclier, nous sommes une cible idéale.
McKay : Ca ne m’avait pas échappé, mais merci d’enfoncer le clou, ça aide.
Sheppard : Vous deviez me dire où les Wraiths ont emmenés le colonel Sumner et les autres ?
McKay : Le lieutenant Ford nous a donné les six symboles, mais il y a des centaines de combinaisons possibles vous savez…
Sheppard : 720.
McKay : Exact… Je le savais bien sûr mais je suis juste… surpris que vous le sachiez…
Sheppard : Il suffit d’écarter les combinaisons qui ne déclenchent rien. Une fois que vous aurez trouvé envoyez un MALP.
McKay : Entendu.
Sheppard : Bien.

Après les quelques minutes qui suivirent les tests de coordonnées, McKay trouva enfin la planète en question, l’ennui, c’est que la Porte était en orbite et qu’il était donc impossible de s’y rendre. Mais heureusement, Sheppard, Ford et quelques autres soldats montèrent à bord d’un des vaisseaux Anciens…

Ford : Vaisseau des Etoiles, prêt à décoller !
Sheppard : Vaisseau des Etoiles ?
Ford : C’est un vaisseau, il franchit la Porte des Etoiles non ? Vaisseau des Etoiles !
Sheppard : Non, non, c’est nul comme nom !
Ford : Le docteur McKay ça lui a plu pourtant !
Sheppard : Ok, alors c’est officiel, sauf que celui qui choisi les noms, c’est pas vous… Contrôleur ? Ici… disons Jumper.
McKay : On était d’accord pour Vaisseau des Etoiles il me semble ?
Sheppard : Négatif !
Weir : Vaisseau des Etoiles ? Qu’est-ce que c’est que ça ?
McKay : C’est un vaisseau… qui franchit la Porte des Etoiles alors… Bon, Jumper, prêt au lancement.
Sheppard : Lieutenant, composez l’adresse.

Le Jumper traversa la Porte des Etoiles.

Sheppard : C’est dingue cet engin !
Ford : Vous avez déjà pris le coup on dirait !
Sheppard : En réalité, je connais des pilotes qui tueraient pour être là. Cet engin lit dans les pensées.

Un écran apparut devant eux, à l’improviste.

Ford : C’était vous ça ?
Sheppard : Je me demandais justement quelle direction prendre…
Ford : Vous avez la réponse on dirait… Comment on fera pour les trouver une fois au sol?
Sheppard : Ca fait aussi parti de mes préoccupations.

Un petit appareil apparut lui aussi sur la gauche du Jumper.

Sheppard : Je ne sais pas ce que c’est mais bon… Et maintenant je pense à un bon sandwich au poulet.

Sheppard eut beau scruter le Jumper, rien ne se produisit.

Ford : Ca valait le coup d’essayer.

La mission de sauvetage fut par la suite un succès, seul un homme fut tué au cours de la bataille : le colonel Sumner, ce qui faisait de Sheppard le nouveau leader militaire d’Atlantis…

Episode 3: Surprised Guests

Nous sommes à Atlantis, en l’an 2006, depuis 1 an exactement, une équipe d’exploration sillonne la galaxie de Pégase à la recherche d’alliés, de nouvelles technologies et particulièrement d’EPPZ pour réactiver le bouclier de la cité et surtout pour rentrer sur Terre.

Atlantis est une ville flottant à la surface d’un magnifique océan, elle est gigantesque à tel point qu’il faut des téléporteurs pour se rendre d’un bout à l’autre. Son potentiel technologique est immense, mais les générateurs sont insuffisants pour activer le bouclier surpuissant qui la protégea lors de l’attaque des Wraiths. C’est ainsi qu’à tout moment, Atlantis peut tomber aux mains de ces mêmes Wraiths. Cette cité recèle de nombreux secrets que les humains découvriront un jour peut-être.

Le tout est dirigé par le docteur Elisabeth Weir, une civile, spécialisée en diplomatie. Quoi que le personnage central soit bien sûr le Major John Sheppard, mais pour l'instant, il dort…

Le Major Sheppard fut réveillé par une partie de baby-foot qui se déroulait dans la pièce d’à côté, une dure journée se profilait puisqu’il devait partir en mission diplomatique sur une planète habitée par un peuple en pleine guerre civile. Mais pour lui comme pour le reste du personnel d’Atlantis, c’était la routine.

Avant de partir, l’équipe SA-1 devait passer par le bureau du Dr Weir, afin d’effectuer un briefing de pré-mission.

Sheppard arriva donc, à moitié endormi…

Weir : Quand même…
Sheppard : Désolé, j’ai eu un petit problème de réveil.
Weir : Oui… Bon, tout le monde est prêt ? Alors c’est parti… Major, rappelez-moi la situation sur cette planète.

Le Major Sheppard bailla pendant une dizaine de secondes au moins…

Weir : Rodney, vous voulez bien… ?
McKay : Oui... Alors en fait, ils sont en pleine crise politique parce que leur nouveau gouvernement est quelque peu répressif...
Weir : Répressif ?
McKay : Une dictature totalitaire, enfin vous voyez le genre…
Teyla : Mais ils n’ont jamais été en crise pareille, ils sont très aimables d’ordinaire, j’ai souvent croisé leur chemin…
Sheppard : Aimables ? Ils ont failli nous étrangler dès qu’ils nous ont vu avec nos armes !
Weir : Mais vous pensez que leur gouvernement accepterait de nous aider ?
Ford : Non, aucune chance.
Weir : Pourtant ils peuvent gagner gros.
Teyla : Mais on ne peut pas laisser ces gens se faire opprimer pour rien !
Sheppard : Même si ils ont voulu nous étrangler, Teyla a raison, ça serait mal élevé de profiter de la situation.
McKay : Mais si on les aide à renverser le gouvernement, ils nous seront reconnaissant et deviendront des alliés de taille.
Weir : Mais ce gouvernement est-il militairement puissant ?
McKay : Disons que…
Sheppard : Très puissant.
Weir : Rodney, vous savez aussi bien que moi que nous ne disposons pas de beaucoup d’hommes, je ne prendrais pas le risque d’en perdre une grande partie pour un peuple qui veut sa propre liberté, même si c’est une bonne cause…
McKay : Mais essayez de comprendre, si on arrive à…
Weir : Non, Rodney.
Sheppard : Alors qu’est-ce qu’on fait ?

Un long silence s’installa, personne ne trouvait d’idées, même McKay.

Weir : Essayez de voir si il y a moyen de les aider… Mais seulement voir !
Teyla : Quand partons-nous ?
Weir : Tout de suite.

SA-1 se dirigea donc vers la salle d’embarquement, Sheppard s’avança pour passer la Porte mais soudain, elle se désactiva. Toute l’équipe se tourna en direction du Docteur Weir qui leur annonça d’un air grisâtre :

Weir : Vous ne partez pas en mission, nous avons de la visite.
Sheppard : Il se passe quelque chose…
Ford : Comme vous dites…

Weir partit en courant de la salle de contrôle. L’équipe, qui ne comprenait pas ce qu’il se passait, courut derrière elle.
Ils arrivèrent sur l’aile ouest de la cité, une énorme plate-forme, dessus se trouvait une structure gigantesque…

Un homme se tenait au centre, il semblait plus important que les autres, il devait y avoir une centaine de personnes au moins. Lorsque Sheppard arriva devant eux, l’homme s’écria :

Homme : Tiens, tiens, mon ancien pilote !
Weir : G… G… Général O’Neill, Colonel Carter…
O’Neill : Brigadier-Général…
Sheppard : Qu’est-ce que vous faites là ?
O’Neill : Et bien vous allez rire, en fait…
Carter : Mon général ?
O’Neill : Oui, en fait c’est vrai qu’il n’y a pas de quoi rire… La Terre a été attaquée.
Sheppard / Weir : Quoi ?
O’Neill : Ba’al a envoyé toute sa flotte d’un coup et a conquis la moitié de la galaxie en quelques semaines…
Carter : Et il y a pire, il a fait de la Terre une de ses planètes les plus importantes, avec l’avant-poste, il a un pouvoir presque sans fin.
Daniel : Nous avons lancé le Prométhée à l’attaque pour faire diversion, les derniers chefs d’état ont préféré nous envoyer sur Atlantis. On peut penser qu’une grande partie de la population est morte et que l’autre est réduite en esclavage…
Carter : Le vaisseau que vous voyez là est le « petit frère » du Prométhée bien qu’il fasse son triple en taille. On l’avait construit peu après votre départ en l’appelant le X-304, Prométhée II et enfin Daedalus.
O’Neill : Et vous de votre côté ça va ?
McKay : La Terre est aux mains des Goa’ulds ?
O’Neill : … Mais dis donc c’est chouette ici, vous nous faites visiter ?
McKay : La Terre est aux mains des Goa’ulds !
Sheppard : Laissez-moi conduire, on y va tout de suite !
Weir : Sheppard !
Sheppard : J’irai avec ou sans vous !
Weir : John ! On ne peut pas lutter… du moins pour l’instant. Mais je vous promets qu’on sauvera la Terre, tous ensemble.
O’Neill : Bon alors on la fait cette visite oui ou non ?
Ford : De toute façon, Ba’al ne peut pas se servir de l’avant-poste, nous sommes les seuls à posséder le gène des Anciens, pas vrai ?
Carter : Pour le moment oui mais je crains qu’il parvienne à l’utiliser quand même, les Goa’ulds sont loin d’être bête vous savez…
Sheppard : Bon... Il va falloir faire un choix, nous ne pouvons pas lutter contre les Wraiths et les Goa’ulds en même temps !

Carter : Hors de question qu'on abandonne la Terre !
Weir : Atlantis est la cité des Anciens, les secrets qu’elle recèle sont immenses, on ne peut pas la laisser non plus...
Daniel : Nous pouvons toujours rester sur Atlantis et se servir du Daedalus pour retourner sur Terre.
Carter : Oui, après tout il possède l’hyperpropulsion.
Weir : … Bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Il faut bien s’organiser non ? Ca représente une cinquantaine de personnes en plus !
O’Neill : Je pense qu’on devrait…
Carter : Pourquoi ne pas réunir nos deux équipes ?
Sheppard : 8 personnes dans une même équipe ?
Carter : Non, 7, le général O’Neill reste à la base…
O’Neill : Justement, je…
Sheppard : Ca en change pas grand chose, 7 personnes, c’est beaucoup !
Daniel : 6, ça vous irait ? Oui, je comptais faire des recherches sur Atlantis, mais vu la taille de cette cité, j’en aurais pour pas mal de temps…
O’Neill : Donc il faudrait…
Carter : Atlantis possède un potentiel technologique immense, je pensais moi aussi rester ici pour vous aider à en apprendre davantage.
O’Neill : Ce qui nous ramène à…
Teal’c : Quant à moi, je pourrais très bien aider Daniel Jackson dans ses recherches.
Weir : Ce qui nous ramène au point de départ… général, vous avez une idée ?
O’Neill : Moi ? Non non…
Sheppard : Je pense que la sécurité de la base est aussi importante que l’exploration, laisser des gens en permanence ici est loin d’être une mauvaise idée en cas de coup dur, d’un autre côté, ils pourront également partir sur le terrain si c’est là-bas qu’il y a un problème.
McKay : Le major a raison, si les Wraiths attaquent, le colonel Carter et moi-même devrions faire équipe !
Weir : Rodney, nous venons de dire que SG-1 sera une sorte… d’équipe de secours à l’équipe du major Sheppard !
McKay : Oui, j’ai entendu… et alors ?
Weir : Alors vous êtes dans l’équipe du major Sheppard, non ?
McKay : Oui… Non, non, je vois où vous voulez en venir !
Weir : Rodney, c’est non !
McKay : Mais pourquoi, je serais plus utile ici ! C’est moi qui connais le mieux cette cité !
Sheppard : Et oui Rodney, vous n’êtes plus indispensable maintenant !
McKay : Vous reconnaissez que je l’étais, c’est un début !
Sheppard : Bien, c’est réglé, mais il nous reste toujours un problème !
Weir : Lequel ?
Sheppard : M4S-937…
Weir : J’avais failli l’oublier… Vous vous rappelez de ce que vous devez faire ?
McKay : Négocier avec eux… Essayer de négocier… Les rencontrer quoi, je crois que je devrais me taire avant d’aggraver mon cas…
Sheppard : Allez, on y va !

Quelques minutes plus tard, Weir retourne dans son bureau et y trouve le Général O’Neill, en train de feuilleter le dossier de SA-1.

O’Neill : On me parle souvent des prouesses de SG-1, mais faut bien dire que chez vous c’est pas mal non plus, vous avez fait du bon boulot…
Weir : Merci du compliment… Vous… Vous avez lu le dossier M4S-937 ?
O’Neill : Oui, j’avoue qu’à votre place j’aurais tenté de tirer un maximum de ces gens…
Weir : Ah…
O’Neill : … Je plaisantais.
Weir : … Alors, qu’est-ce que vous comptez faire sur Atlantis ?
O’Neill : Me relaxer au soleil et dormir 18h par jour, le reste du temps… Bah non en fait il n’y aura plus de temps… Je n’en ai aucune idée, peut-être que je pourrais vous…
Weir : C’est pas de refus…
O’Neill : Vous semblez stressée, il n’y a pas de quoi… Le major Sheppard, comme vous me l’avez dit vous-même, est quelqu’un de bien, il sait faire son travail et mérite notre confiance, vous n’avez pas à vous en faire pour eux…
Weir : Non, c’est juste que… Laissez tomber…
O’Neill : Bon… Le problème est réglé alors… Si il y a quoi que ce soit, vous savez où me trouver… Oh, et passez-moi un coup de fil dès que Sheppard et ses hommes reviennent !
Weir : Entendu…

Pendant ce temps, en salle de contrôle…

Sheppard : McKay ? Qu’est-ce que vous fichez ?
McKay : Vous savez que je déteste partir en mission, c’est bien ça le plus inquiétant, vous le savez, et vous m’emmenez quand même, c’est pathétique, en plus j’ai raison, je serais bien plus utile ici avec le colonel Carter, mais ces messieurs ont des folies de grandeur et…
Sheppard : Fermez-là et avancez au lieu de marmonner dans votre coin !
McKay : Et voilà, ça recommence…
Sheppard : Si vous voulez rentrer avant noël, on ferait bien d’y aller… Maintenant !

Sheppard poussa McKay dans le vortex, l’obligeant à traverser, avant de traverser à son tour, Ford et Teyla derrière lui.

Episode 4: Stargate: SA-1

La Porte s’activa sur Atlantis, plusieurs heures après le départ de SA-1.

Weir : On a un code d’identification ?
Grodin : Oui, celui du major Sheppard.
Weir : Désactivez le bouclier…

Sheppard et son équipe traversèrent.

Weir : Que s’est-il passé ?
McKay : Rien du tout, c’est bien ça le problème !
Sheppard : Ce que Rodney essaie de vous dire, c’est que la planète est déserte, il n’y a plus personne !

En salle de briefing…

Weir : Comment est-ce possible, ils n’ont pas disparus tout de même !
Sheppard : Je crois savoir ce qu’il s’est passé…
Weir : Je vous écoute…
Sheppard : Nous avons fait le tour sur quelques kilomètres autour de la Porte, ceci dit il est possible qu’ils soient ailleurs…
McKay : Oui, mais l’important, c’est qu’on a repéré un secteur assez particulier, à l’est de la Porte, il y a des traces de combats…

Weir : C’est-à-dire ?
Sheppard : Un Darth, à moitié enfoncé dans la terre…
Weir : Une attaque des Wraiths…
McKay : Une sacrée attaque même, je pense que les survivants se sont réfugiés au nord-ouest de la cité, c’est un endroit bien protégé et facilement camouflable.
Sheppard : En supposant qu’il y ait des survivants…
McKay : Oui, évidemment…
Weir : Si j’ai bien compris, vous voulez pousser les recherches ?
Sheppard : Oui, je recommande d’emmener un Jumper, comme ça, s’il y a encore des Wraiths, on aura un avantage contre eux.
Teyla : Je trouve ça étrange…
Weir : Quoi ?
Teyla : Les Wraiths, ils attaquent précisément quand nous visitons cette planète.
Sheppard : C’est sans doute une coïncidence…
Teyla : Je ne crois pas…
McKay : L’hypothèse de la coïncidence est la plus fiable, les Wraiths ne possèdent pas une bonne hyperpropulsion, il leur faut des jours et des jours pour arriver jusqu’à une planète. Donc, ils avaient prévu d’attaquer cette planète avant même que nous n’en apprenions l’existence…
Weir : Bon, vous pensez qu’ils sont encore sur la planète ?
Sheppard : Non, il y a peu de chances, ils mettent déjà assez de temps à voyager sans avoir besoin de traîner après avoir « mangé ».
Weir : Alors allez-y !

Les chevrons bleus de la Porte d’Atlantis s’activèrent les uns après les autres. Le vortex se forma, puis le Jumper, piloté par Markham, traversa, SA-1 était encore en salle d’embarquement.

Sheppard : Bon, Rodney, vous traversez de vous-même cette fois-ci ?
McKay : Oui, absolument !
Sheppard : Oh, il y a du mieux, qu’est-ce qui a provoqué ce changement soudain d’attitude ?
McKay : Réfléchissez, plus vite on sera parti, plus vite on sera revenu, plus vite je pourrais aller dans le labo et...
Sheppard : N’en dites pas plus...

Il le poussa encore une fois dans le vortex.

McKay : Hé, attendez, qu’est-ce que j’...
Teyla : C’est bizarre...
Sheppard : Qu’est-ce qui est bizarre cette fois-ci ?
Teyla : Je sens comme si... Non, ça ne pourrait pas traverser le vortex.
Sheppard : Vous sentez la présence des Wraiths ?
Teyla : Oui, absolument, mais j’ignorais que cela marchait aussi à travers le vortex...
Sheppard : Et bien vous le saurez maintenant !

Sheppard et les autres suivirent. L’équipe se retrouva sur la planète, Sheppard saisit sa radio.

Sheppard : Markham ? Vous me recevez ?
Markham : 5/5 major.
Sheppard : Bon, on va se séparer... Vous, dirigez-vous vers l’est, en mode furtif, je veux savoir si les Wraiths sont toujours là, on se recontacte dans une heure. Ford et Teyla, vous partez à l’ouest et nous au nord, là où les survivants doivent être.
McKay : Et qui va au sud ?
Sheppard : Personne !
McKay : Mais peut-être qu’ils sont là-bas !
Sheppard : Allez on y va !
McKay : Toujours le même celui-là, il croit tout savoir mais en fait c’est juste qu’il...

Et l’exploration commença.

Sheppard : Ford, Teyla, vous avez trouvé quelque chose ?
Ford : Négatif major, il n’y a personne ici, c’est complètement mort…
Sheppard : C’est bien ce que je disais, il ne doit pas y avoir de survivants…
McKay : Mais vous êtes malade ! Ca ne fait que 2 ou 3 heures que nous cherchons, ils sont sûrement ailleurs !
Sheppard : Ca fait 7 heures Rodney, 7 heures à tourner encore et encore en rond, il n’y a personne, allez, on rentre, et ne protestez pas Rodney… Rodney ? Mais où est-ce qu’il est passé celui-là !
McKay : J’ai trouvé !
Sheppard : McKay, où êtes-vous ?
McKay : Par ici, oh, oh, en bas !
Sheppard : Vous ne vous êtes pas fait mal au moins ?
McKay : Non, pensez-vous, ce trou est juste 10 mètres au dessous de la surface ! Evidemment que je me suis fait mal !
Sheppard : Mais il y a une corde là, juste à côté de vous !
McKay : Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, cette chute n’était pas préméditée… Tenez, venez me rejoindre, il y a un tunnel et je parie qu’il va nous conduire tout droit aux rescapés…
Sheppard : D’accord, mais c’est votre dernière chance, s’il n’y a personne, on rentre sur Atlantis… Markham, retournez près de la Porte et prévenez-nous s’il y a quoi que ce soit, Ford, Teyla, rejoignez-nous, on est à une centaine de mètres de votre position…
Ford : Bien reçu major, on arrive…

Quelques secondes plus tard.

McKay : Bon, vous venez, je ne compte pas rester l’éternité dans ce trou moi !
Sheppard : Allez, Teyla, passez devant…
Ford : Je pense que je devrais rester ici, garder l’entrée si jamais il y avait un problème…
Sheppard : On a la frousse lieutenant ?
Ford : Moi, vous rigolez… C’est pas un trou qui va me faire peur, même s’il est noir et que l’odeur est nauséabonde et que…
Sheppard : Ca va, j’ai compris, allez, on y va…

Une heure plus tard, Sheppard puis Teyla sortirent de la grotte…

Ford : Où est le Dr McKay ?
Sheppard : Il est à l’intérieur avec les survivants…
Ford : Il avait raison on dirait…
Sheppard : Ca va lieutenant, n’enfoncez pas le clou… Bon, de votre côté rien de spécial ?
Ford : Non, rien du tout, les Wraiths sont partis depuis longtemps.
Sheppard : Très bien, ça facilitera l’intervention… Markham, venez nous chercher, on rentre sur Atlantis…

Episode 5: First Round

Le Jumper se posa quelques minutes plus tard, embarqua Sheppard, Teyla et Ford, puis se dirigea vers la Porte.

Sheppard : Bon, dès qu’on sera rentré, j’irai voir le Dr Weir, vous, vous irez chercher Beckett et vous apporterez de la nourriture.
Ford : Pardon mais, pourquoi ne pas les avoir emmené sur Atlantis avec le Jumper ? Ca aurait été beaucoup plus simple non ?
Sheppard : Oui, bien sûr, seulement, il y a trop de survivants, on aurait été obligé de faire une dizaine d’aller-retour au moins, on gagne du temps en apportant nos équipes là-bas.
Markham : On arrive près de la Porte…
Sheppard : Composez l’adresse.
Markham : Oui major… Là, ici, et, ah oui là…
Sheppard : Bon, reprenons… Nous avons aussi trouvé un appareil, d’après McKay, il pourrait…
Markham : Major ?
Sheppard : Quoi encore ?
Markham : La Porte refuse de s’ouvrir…
Sheppard : Vous avez dû entrer les mauvaises coordonnées, Ford, essayez.

Sheppard n’était cependant pas sûr de lui… Il avait ce qu’on appelle couramment, un mauvais pressentiment…

Ford : Non major, la Porte ne s’enclenche pas…
Sheppard : Bon, pas de panique… Faites demi-tour on va chercher Rodney…

Quelques minutes plus tard, le Jumper était revenu devant la Porte, McKay à bord…

Ford : Major, que fait-on pour les survivants de la cité ?
Sheppard : Il faut qu’on…
McKay : Sans vouloir être pessimiste, si on continue, ça sera nous les survivants, parce qu’on ne tiendra pas longtemps ici…
Sheppard : Pour une fois, je suis bien d’accord avec vous Rodney.
McKay : Vraiment ?
Sheppard : Oui, mais ne vous faites pas d’illusions, c’est passager…
McKay : Je l’avais bien compris major… Au fait, comme je vous l’ai dit tout à l’heure, on devrait se réfugier sur une planète alliée non ? Chez les Jeunes par exemple, c’est le premier endroit où ils viendront nous chercher…
Sheppard : Non Rodney, on reste là et on attend, point final !

On entendit un bruit étrange, Ford saisit son P-90 en moins de deux…

Ford : Qu’est-ce que c’était ?
McKay : Mon ventre lieutenant, j’ai une faim de monstre…
Sheppard : Comment faites-vous pour avoir toujours faim ?
McKay : Contrairement à ce que vous semblez croire, je me dépense beaucoup…
Sheppard : Mais bien sûr… En parlant de ça, lieutenant, regardez ce qu’il y a dans le Jumper…
McKay : Histoire de savoir combien de temps on va agoniser…
Sheppard : Attention, votre pessimisme reprend le dessus…
Ford : On a un problème…
Sheppard : Encore ! Qu’est-ce que c’est cette fois ?
Ford : Les bacs sont vides, absolument rien…
Sheppard : Markham…
Markham : Désolé major, mais je ne pouvais pas savoir qu’on serait coincé sur cette plan…
Sheppard : Il faut toujours prévoir la pire situation !
McKay : C’est vrai, je peux devenir irritant quand je ne mange pas…
Sheppard : Oui et… Quoi ?
McKay : Bah, c’est un fait, je deviens irritant quand je ne mange pas, attendez une petite heure et vous verrez…
Sheppard : Vous l’êtes déjà Rodney…
McKay : Justement, imaginez comment ça peut être…
Sheppard : Je ne préfère pas…
Ford : Hé, on reste positif on a dit ! C’est pas le moment de se chercher des crosses entre nous…
Sheppard : Vous avez raison Ford… Si on faisait un billard ?

Quelques heures plus tard, tandis que McKay vérifiait une dixième fois au moins les munitions qui restaient dans son P-90, on attendait encore et toujours…

Ford : … et alors il répond : « C’est ça, tu sauras pourquoi il a brûlé ! »
Teyla : Je ne connaissais pas ce don de comique que vous aviez lieutenant…
Sheppard : Et encore, là il est pas en situation idéale, elles sont bien meilleures d’habitude…
Ford : Je suppose que je dois prendre ça comme un compliment… Mais j’en ai une autre sinon… C’est l’histoire d’un Gaulois qui rencontre un Wraith… Ah oui, encore faut-il que vous sachiez ce qu’est un Gaulois…
McKay : Par pitié arrêtez ça, vous ne pourriez pas cesser de raconter des blagues lieutenant ? Elles ne sont même pas drôles en plus !
Teyla : Je ne suis pas d’accord, je les trouve très drôles moi…
Sheppard : Et vous Rodney !
McKay : Moi quoi ?
Sheppard : Allez-y, racontez-nous une blague !
McKay : Moi… Maintenant ?
Ford : Tout le monde sait que les scientifiques n’ont pas d’humour…
Sheppard : Je suis bien d’accord, et Rodney vient de nous le prouver !
McKay : Ah oui ? Vous allez voir, vous n’allez pas vous en remettre ! Euh… Attendez, je crois que je sais ce qu’il se passe…
Sheppard : Vous voyez, même vous vous arrivez à sortir de bonnes blagues quand vous voulez !
McKay : Non major, je crois vraiment que je sais ce qu’il se passe… Teyla, vous nous avez bien dit avoir senti les Wraiths avant de passer la Porte ?
Teyla : Oui, et alors ?
McKay : Réfléchissez, vous les sentez avant de passer la Porte, aucun Wraith ici, étrange non ? Et comme par hasard nous perdons le contact avec Atlantis !
Sheppard : Où voulez-vous en venir Rodney ?
McKay : C’est pourtant simple ! Si vous avez senti les Wraiths avant de passer la porte, ce n’est pas un hasard, ils n’étaient plus sur cette planète…
Sheppard : Abrégez par pitié !
McKay : Les Wraiths étaient au-dessus de la cité, c’est pour ça que vous les avez senti, ils avaient quitté la planète et étaient en approche d’Atlantis !
Sheppard : Ca expliquerait pas mal de choses, mais vous avez dit vous-même que l’hyperpropulsion de leurs vaisseaux était peu performante, comment auraient-ils pu passer de cette planète à Atlantis en si peu de temps ?
McKay : Justement, leur cible n’était pas M4S-937, c’était Atlantis, malheureusement pour nous, cette planète était leur dernier saut avant Atlantis, elle est très proche de la cité à l’échelle galactique, et de toute façon je ne pense pas que nous les aurions repéré avant…
Sheppard : Admettons que vous ayez raison, les Wraiths auraient attaqué Atlantis juste après notre départ, la Porte n’aurait pas fonctionné que si… elle avait été détruite… par une grande explosion comme…
McKay : L’autodestruction de la cité…
Sheppard : C’est pas vrai…
Ford : Mais ce n’est pas la seule possibilité non ?
McKay : La plus plausible vu la situation… Mais non pas la seule…
Sheppard : Pourquoi ?
Ford : Je ne sais pas, ils auraient pu faire exploser seulement la Porte, ou bien autre chose, c’est plutôt à vous de nous le dire McKay !
McKay : De vous à moi, je pense sincèrement qu’Atlantis s’est autodétruit.
Sheppard : Vous oubliez que tous les membres du SGC sont là, ils auraient pu les aider à trouver une solution…
McKay : C’est vrai que le colonel Carter est assez intelligente pour…
Sheppard : Oubliez ce que j’ai dit…
Markham : Major, désolé de vous interrompre mais…
Sheppard : Mais quoi ? Qu’est-ce que vous avez encore Markham ?
Markham : La Porte des Etoiles est en train d’être activée de l’extérieur…



Voili, vous avez de la lecture ^^!

gloups... indigestion...

moi qui me demandais à quoi tu passais ton temps

Et encore, c'est qu'une petite partie (surtout ceux là, ils datent du début de SGU je pense ^^)...

c'est super bien

tu en as mis du temps pour te decider a les poster ^^
bah tu connais deja mes avis

tu en a fait d'autre et pas mal l'idé de faire la terre se faire attaquer pas baal et qu'il vienne sur atlantis

tu pourai mettre les autre merci j'adore

hugo a écrit:

tu en as mis du temps pour te decider a les poster ^^
bah tu connais deja mes avis

J'avais pas spécialement envie de poster pour 2 personnes, et encore, là je me suis dis vu qu'il y a du monde, il y a pitetre une chance pour que quelques uns aient le courage (et le temps ^^) de lire ça ^^!

PS: Et en effet tes avis je les connais !

Sinon merci florian, je mettrai les autres dans pas longtemps.

Episode 6: Atlantis's Destiny

Sheppard : Markham, activez l’occulteur du vaisseau !
Markham : Tout de suite Major !
McKay : Major, si c’est Atlantis, ils ne…
Sheppard : Mais si jamais ce sont les Wraiths, vous prféreriez être à découvert ?
McKay : Bien sûr que non mais…
Sheppard : Si c’est Atlantis, ils se douteront que nous sommes ici, et ils nous enverront un message radio…
McKay : Oui, oui, mais si jamais il y a eu une explosion, les communications radios peuvent être interrompues donc…
Sheppard : McKay, personne ne vous demande d’imaginer un scénario catastrophe !

La radio se mit à grésiller.

Sheppard : Atlantis, ici…
McKay : Major, si ce sont les Wraiths et qu’ils captent…
Sheppard : Par pitié arrêtez votre cirque McKay, nous sommes invisibles, même si une armée Wraith débarquait ici, ils ne nous verraient pas… Ici le major John Sheppard, est-ce que quelqu’un m’entend… Ici Sheppard, répondez…

Personne ne répondit…

McKay : Vous voyez, qu’est-ce que je vous disais…
Sheppard : McKay, vous commencez à me…
Markham : Regardez, quelque chose vient de traverser la Porte.

Une machine venait de traverser la Porte.

Sheppard : Soit j’ai des visions… Soit c’est un MALP !
McKay : C’est un choix cornélien !
Sheppard : Suffit l’humour sarcastique McKay… Allez, allons faire coucou à la caméra…

Quelques heures plus tard – dont une bonne heure et demie de sommeil et de déjeuner pour McKay -, toute l’équipe se retrouva réunie en salle de briefing avec le Dr Weir, le général O’Neill et SG-1 au grand complet.

Sheppard : Alors, pourquoi avez-vous été si long à nous contacter ?
Carter : On a eu quelques petits problèmes ici…
McKay : Petits ? Un vaisseau-ruche qui vous tombe dessus à l’improviste vous appelez ça un petit problème ?
Weir : Comment savez-vous que…
Sheppard : Une longue histoire ! Mais commençons par le début, racontez-nous un peu ce qu’il s’est passé quand nous sommes parti…
Daniel : C’est assez simple, on a repéré un vaisseau-ruche en orbite de la planète, et après quelques secondes de réflexion…
Carter : Daniel !
Daniel : … Quelques minutes de réflexion, nous avons vite trouvé une solution…
Sheppard : … Et…
O’Neill : Et nous avons imaginé un plan A…
Carter : Nous avons enclenché le fauteuil présent sur la cité avec un générateur à naquadriah, notre premier prototype…
Ford : Et ça a marché ?
O’Neill : Mais vous savez bien qu’ils ne marchent jamais nos plans A lieutenant…
Carter : Comme nous le redoutions, la réaction du naquadriah s’est emballée, nous avons juste eu le temps de tout débrancher avant que tout explose…
Sheppard : Comment vous avez fait alors ?
Weir : On a coupé le courant et envoyé le Daedalus…
Sheppard : Je croyais que le Daedalus était HS ?
Carter : L’armement conventionnel est effectivement en panne, mais on a pris le dernier drone qu’il nous restait de l’Antarctique avec nous, on a pu le fixer sur le Daedalus, sa force de propulsion décuplée et multipliée par sa puissance ont causé de gros dégâts au vaisseau-ruche.
Sheppard : Et le vaisseau est parti ?
Weir : Oui, mais il ne faut pas se faire d’illusions, maintenant que le vaisseau a testé nos forces et que les Wraiths ont la certitude que nous sommes là…
Carter : Le plus intéressant dans tout ça, c’est que nous avons mis en service un nouveau programme qu’apparemment le Dr McKay et son équipe n’avaient pas encore découvert.
Sheppard : Et c’est ?
Carter : Ce sont des capteurs longue distance, ils sont capables de repérer et d’identifier des vaisseaux à plusieurs années-lumière d’ici. A l’échelle galactique, c’est une infime parcelle, mais ça permet quand même de repérer les vaisseaux ennemis plusieurs jours avant leur arrivée…
McKay : Fantastique, on soupçonnait depuis longtemps l’existence de tels capteurs, mais impossible de…
Sheppard : Est-ce que vous les avez mis en route ?
Carter : Non, nous ne sommes pas sûr de la quantité d’énergie qu’ils peuvent prendre…
Sheppard : Donc vous vouliez attendre qu’on rentre ?
Carter : Voilà, et puis nous nous sommes dis que le Dr McKay devrait être là pour la mise en fonction…
McKay : Vraiment ? Vous avez pensé à moi ? Je veux dire… Merci de m’avoir attendu !
Weir : Bon… Si quelqu’un a autre chose à rajouter ?

La réunion se termina ainsi, cependant, le major Sheppard resta quelques minutes de plus.

Sheppard : Elizabeth, vous ne m’avez toujours pas répondu ! Pourquoi avez-vous mis autant de temps avant de nous contacter ?
Weir : Oh, et bien à vrai dire, on pensait que si vous n’arriviez pas à rentrer sur Atlantis, vous seriez aller vous réfugier sur une planète alliée, chez les Jeunes par exemple, on a cherché sur toutes les planètes que l’on connaissait… Puis le général O’Neill a demandé à ce qu’on réactive la Porte vers la planète, la suite, vous la connaissez…
McKay : Venez vite, on a un problème !
Weir : Que se passe-t-il ?
McKay : Nous avons mis en marche les capteurs longue distance, regardez ça !
Sheppard : … Ce sont des vaisseaux-ruche…
McKay : Exact, il y en a une dizaine à vue de nez, ils font route en ce moment même vers Atlantis.
Weir : Combien de temps environ ?
McKay : Difficile à dire, on sait que l’hypernavigation des Wraiths est loin d’être performante, elle fonctionne par une série de bonds qui…
Sheppard : Le temps Rodney !
McKay : Je dirais deux semaines environ…
Sheppard : C’est pas vrai…
Weir : Voyons le bon côté des choses, nous avons deux semaines pour nous préparer…

Episode 7: Alpha Site

Le lendemain, tout le monde avait rendez-vous pour une réunion d’urgence. A cause de l’arrivée prochaine des Wraiths, rares étaient ceux qui avaient pu fermer l’œil.

Weir : Bon, il nous faut trouver au plus vite une solution…
McKay : Nous avons le choix entre une mort lente, mort rapide, mort douloureuse, mort en groupe, mort…
Sheppard : Je vous en prie ne soyez pas aussi pessimiste Rodney !
McKay : Pessimiste ? Je dirais plutôt réaliste ! C’est vrai après tout, quelles chances avons-nous ?
Sheppard : C’est ce qu’on vous demande de chercher !
Weir : Messieurs ce n’est pas vraiment le moment ni l’endroit pour vous quereller !
Ford : Madame, je crois qu’il serait judicieux de commencer par trouver une planète de refuge, une sorte de Site Alpha, comme ça même si nous ne pouvons pas battre les Wraiths, il nous suffira de lancer l’autodestruction et de partir.
Weir : Vous avez une planète à nous proposer ?
Sheppard : La planète des Jeunes, avec son bouclier magnétique en plus, on ne peut pas trouver mieux… Je recommande d’y aller tout de suite pour les prévenir et de commencer dès maintenant les aménagements.
Weir : Je suis d’accord, vous partez de suite, je veux un rapport sur la situation dans deux heures.

La Porte s’activa sur la planète des Jeunes, chevron après chevron, le vortex se forma, l’équipe du Major Sheppard traversa.

Sheppard : Bon, lieutenant, vous et Rodney, allez vers le générateur de champ machintruc, je veux savoir s’il peut marcher. Teyla et moi, nous allons au village, contactez-nous dès que vous y êtes…
Ford : Bien Major, allez doc, en route…
McKay : Pourquoi c’est toujours lui qui part avec Teyla, ce n’est pas que je ne vous aime pas lieutenant, mais…
Ford : Avancer au lieu de parler pour ne rien dire…
McKay : Et en plus vous vous fichez de moi, c’est pas croyable…

Teyla : Major, vous croyez que les Jeunes accepteront de nous voir tous sur leur planète ?
Sheppard : Aucune idée, j’espère que oui, mais on va essayer de les convaincre.

Tout en disant cela, Sheppard saisit son P-90, ils s’étaient fait encerclé par les Jeunes et leurs armes primitives.

Sheppard : Du calme… On vient en paix…

Un homme se distingua, s’avança et abaissa sa propre arme.

Homme : Vous êtes les fils des Ancêtres ?
Sheppard : Euh… Oui, c’est ça.
Homme : Bienvenue à vous, je m’appelle Keras.
Sheppard : Heureux de vous connaître Keras, je suis…
Keras : Le Major Sheppard oui, je sais, on nous a parlé de vous et de votre précédente visite sur notre monde. Vous êtes les bienvenus, laissez-moi vous escorter jusqu’à notre village.

Ford : Bon doc, ça avance ?
McKay : Ca ne fait que dix minutes que nous sommes là lieutenant, il va falloir que vous appreniez à être patient.
Ford : Est-ce que ce truc marche au moins ?
McKay : Visiblement oui, mais l’EPPZ qui l’alimente est presque à sec.
Ford : Combien de jours peut-il encore tenir ?
McKay : Heures, il ne tiendra que quelques heures.
Ford : Ca risque de nous poser un problème.
McKay : Vous croyez ?

Sheppard : Alors si j’ai bien compris, vous êtes le chef de ce village ?
Keras : On peut voir les choses comme ça, mais mon peuple se considère sur un pied d’égalité, parfois, je me demande si le fait d’être le chef est une bonne chose.
Teyla : Chaque peuple a besoin d’un chef, ce n’est pas pour autant que ce chef en devient mauvais.
Keras : Vous avez probablement raison…
Sheppard : Ecoutez Keras, je préfère jouer franc jeu avec vous, si nous sommes là, c’est parce que vous êtes notre dernière chance de survie.
Keras : Quoi ?
Sheppard : Les Wraiths vont bientôt arriver chez nous.
Keras : Oui, les Wraiths arrivent toujours sur chaque monde.
Sheppard : Vous avez mal compris Keras, les Wraiths arriveront dans quelques jours, nos instruments nous l’ont indiqué.
Keras : Qu’attendez-vous de nous ? Vous savez que nous ne pouvons vous donner la barrière qui nous protège des Wraiths.
Sheppard : En fait, nous pensions établir une base à l’intérieur du champ de protection pour que les derniers rescapés survivent plus longtemps.
Keras : Vous voulez vous installer sur notre monde ?
Sheppard : Nous pensions, avec votre accord bien sûr, nous installer près des ruines, c’est un endroit parfait.
Keras : Je doute que mon peuple soit d’accord.
Sheppard : Mais vous avez de l’influence non ?
Keras : Sur les quelques habitants de ce village, mais je n’en ai aucune sur les dizaines d’autres villages qui sont à l’intérieur de la barrière.

Ford : McKay, grouillez-vous à la fin !
McKay : Ford, vous commencez à me…
Sheppard : Ford, ici Sheppard, répondez.
Ford : Major, que se passe-t-il ?
Sheppard : On continue de leur parler, la tâche s’annonce rude, mais on va essayer. De votre côté ?
McKay : L’EPPZ est presque à sec, même si vous obtenez leur accord, je crains que le champ électromagnétique ne lâche avant qu’on ait posé la première pierre ici…
Sheppard : Vous n’avez aucun moyen de le recharger ?
McKay : Je suis scientifique, par magicien major… A moins que… Il y aurait bien un moyen, mais il faudrait l’emmener sur Atlantis.

Sheppard : Vous rigolez j’espère ? Pour eux, le bouclier est un dieu qui les protège !
McKay : Je n’irais pas jusque là. Et puis c’est aussi dans leur intérêt, si on les laisse comme ça, l’EPPZ s’épuisera et ils finiront par être attaqué.
Sheppard : Bon, je vais essayer, McKay, restez là, Ford, allez faire votre rapport au Dr Weir.
Ford : Bien major.
McKay : Moi ? Tout seul dans ce trou paumé ?
Sheppard : Et oui c’est comme ça ! Sheppard terminé.

Keras : Avez-vous pu parler à vos amis.
Sheppard : Oui, et j’ai de très mauvaises nouvelles.
Keras : Lesquelles ?
Sheppard : Le généra… Enfin comment vous dire… Votre « barrière », est sur le point de disparaître.
Keras : Pourquoi cela ?
Sheppard : C’est un peu compliqué, pour faire simple, disons que sa puissance baisse à chaque seconde qui passe, et que dans quelques heures, quand sa puissance atteindra zéro, elle disparaîtra. Heureusement, nous croyons avoir un moyen d’empêcher cela.
Keras : Bien sûr, j’envoie deux hommes vous escorter jusqu’à la…
Sheppard : Non, vous ne m’avez pas bien compris, pour redonner de la puissance à la barrière, nous devons emmener une partie de l’appareil qui se trouve dans la grotte chez nous.
Keras : Hors de question.
Sheppard : Si vous refusez, vous mourrez, les Wraiths ne tarderont pas à s’apercevoir de ce qui se passe. Ca ne prendra que quelques minutes, vos amis ne s’apercevront de rien et les Wraiths n’auront pas le temps de venir.
Keras : D’accord, mais faites vite alors…
Sheppard : Nous vous offrons la vie, ou plutôt, votre survie. En échange, je vous demande aimablement au nom de mon peuple d’assurer la notre en nous permettant de nous installer près des ruines.

Episode 8: Back To Home (1/2)

McKay : Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi on nous a laissé partir, c’est pas logique enfin, les…
Sheppard : Bien sûr que c’est logique, toutes les équipes d’Atlantis procèdent à l’installation du Site Alpha sur la planète des Jeunes et les Wraiths n’arrivent que dans deux semaines, on ne va pas attendre que le temps passe.
Carter : Le Major Sheppard a raison Rodney, le voyage d’Atlantis à la Terre nous prend quatre jours, soit huit jours en comptant le retour.
McKay : Si vous le dites, je ne peux que vous croire sur parole, je vous fais entièrement confiance et…
Sheppard : Il reste encore un problème.
McKay : Vous comptez me couper la parole encore longtemps ?
Sheppard : Oui. Je disais qu’il y a encore un problème, si Ba’al a, comme vous le dites, fait de la Terre une de ces planètes principales, il y aura sans doute une flotte en orbite.
Carter : Oui, c’est aussi ce que nous nous sommes dit. Le Daedalus ne sortira d’hyperespace qu’à hauteur de la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter, les boucliers Asgards seront assez puissants pour absorber les éventuels dégâts mais au moins, notre signalement sera confondu avec celui des astéroïdes.
Sheppard : Oui, oui, mais tout ce que je demande, c’est est-ce qu’on sera à l’abri.
Carter : En principe, oui. Il faudra envoyer un Jumper furtif jusqu’à la Terre, comme ça, personne ne sera repéré.

Le voyage se passa sans encombre, Rodney faisait tout son possible pour rester avec le Colonel Carter, Daniel et Teal’c étudiaient de près quelques documents qu’ils avaient ramenés d’Atlantis. Sheppard, quant à lui, passait une majorité de son temps sur la passerelle, Ford et Teyla sur ses talons, à parler avec le Colonel Chase, pilote du vaisseau.
Vint ensuite le moment attendu, ils étaient arrivé à destination.

Chase : Sortie d’hyperespace… Maintenant !

En effet, le vaisseau sortit d’hyperespace, manquant de peu un énorme astéroïde. Le bruit des chocs était incessant, on avait l’impression qu’un vaisseau ennemi martelait le Daedalus de toute sa puissance de feu.

Sheppard : Vous êtes sûre que nous ne risquons rien ?
Carter : Ne vous inquiétez pas, c’est plus impressionnant que dangereux.
Sheppard : Si vous le dites…
Carter : Major, vous et le lieutenant Ford allez monter à bord d’un Jumper, vous allez faire un tour et vous rentrez au bercail, ce n’est qu’une simple reconnaissance, pas d’acte démesuré.
Teyla : Colonel, je désirerais aller avec…
Carter : Moins nombreux vous serez, mieux ça sera, si j’ai demandé à ce que le lieutenant Ford vous accompagne, c’est uniquement parce qu’il a souvent été votre co-pilote. Allez-y et faites le plus vite possible.
Sheppard : Oui mon colonel.

Le Daedalus était maintenant au cœur du champ d’astéroïdes, le Jumper décolla du hangar, puis devint instantanément furtif, lorsqu’il eut dépassé Mars, Sheppard et Ford étaient bouche bée.

Sheppard : Ford, est-ce que vous voyez ça ?
Ford : Oui major, pas besoin de détecteurs, ce truc est gigantesque, qu’est-ce que c’est à votre avis ? Une base stellaire ?
Sheppard : Je dirais même une base lunaire.
Ford : Quoi, vous voulez dire que ce truc, c’est la Lune ?
Sheppard : Exactement, pour Ba’al, c’est le meilleur avant-poste qui soit. Ca vous dit d’aller faire un tour ?
Ford : Sauf votre respect, je ne préfère pas trop m’approcher, en plus de ça notre mission est d’aller voir ce qu’il y a sur Terre, pas sur la Lune.
Sheppard : Allez lieutenant, ne faites pas votre…

Les capteurs s’affolèrent.

Ford : Qu’est-ce qu’il se passe ?
Sheppard : C’est le signalement d’un vaisseau, dans le champ d’astéroïdes.

Sheppard fit faire un demi-tour au Jumper.

Ford : Je croyais que le Daedalus n’était pas détectable.
Sheppard : Oh mais c’est toujours le cas…

Sheppard désigna du doigt le champ d’astéroïde, un énorme vaisseau ouvrait le feu sur les astéroïdes qui le gênait, tandis le Daedalus, escorté par un escadron de chasseurs, était forcé d’accoster.

Ford : On a un problème…
Sheppard : Vous croyez ? Pourtant, d’après le colonel Carter, on ne mettra approximativement que 9735 ans à retourner sur Atlantis en Jumper, à dix ans près… Il faut trouver un moyen d’entrer…
Ford : Quoi ? Entrer dans ce machin ?
Sheppard : Vous ne pourriez pas appeler les choses par leur nom lieutenant ? En plus notre vaisseau est invisible, on ne risque rien… Enfin j’espère…
Ford : Il se dirige vers la Lune on dirait.
Sheppard : Il faut entrer de suite, je pense que si nous nous approchons de la Lune, ils nous détecteront et nous détruirons.
Ford : Vous voulez manœuvrer un amarrage pendant que le vaisseau se déplace ? Mais c’est du suicide major !
Sheppard : Détendez-vous Ford, vous oubliez qu’en plus d’être un génie, je suis pilote.

Le vaisseau Goa’uld fonçait vers la base Lunaire, le Jumper s’approcha encore plus rapidement, et, après une sorte de créneau dans le vide, il fut propulsé dans les hangars bâbords.

Ford : Major, le Daedalus est de l’autre côté du vaisseau non ?
Sheppard : Oui, est-ce que ça vous pose un problème lieutenant ?
Ford : Non, non major, aucun.
Sheppard : Bon, la porte du hangar est fermée, il va falloir l’ouvrir.
Ford : Vous avez pensé à prendre les clés ?
Sheppard : Non, je vais envoyer un drone à la place, c’est plus radical mais tout aussi efficace.
Ford : Major, la dernière fois qu’on a envoyé un drone sur un vaisseau, il a explosé en une fraction de seconde.
Sheppard : Si j’arrive à immobiliser le drone juste après qu’il ait perforé la porte, on ne devrait pas exploser.
Ford : Et sinon ?
Sheppard : Ravi de vous avoir connu lieutenant.

Ford ferma inconsciemment les yeux. Les canons latéraux du Jumper se déployèrent, un drone sortit à toute vitesse, il perfora la porte et décèlera jusqu’à rebondir contre le mur du couloir avant de totalement s’immobiliser par terre.

Ford : Est-ce qu’on est mort major ?
Sheppard : Je n’en ai pas l’impression, mais pincez-vous si vous n’en êtes pas convaincu.
Ford : Ca ira comme ça major. Bien joué !
Sheppard : Oh, c’était peu de choses ! Allez lieutenant, on va récupérer notre vaisseau…

super bien les episode 6 et 7

Andros a écrit:

il y a pitetre une chance pour que quelques uns aient le courage (et le temps ^^) de lire ça ^^!

bah pas moi
pitêtre une autre fois